A l'arrière-plan, un paysage d'arbres avec un enfant et un homme qui poursuit un cerf. Sur cette scène sont disposés cinq médaillons [ovales] qui retracent chacun une des scènes contenues dans le tome 1, avec dans chacun une légende. En bas, au centre "Ce sont, le Fer et le Blé, / qui ont civilisés [sic] les Hommes."
Page de titre de la «Suite Poinçot aux Ed. Poinçot»
Dans un paysage où apparaît un temple (colonnes supportant un dôme), Orphée charme des animaux. Au-dessous s'ouvre l'antre forge de Vulcain. Au premier plan, la Musique assise tient une plume d'oie et une lyre près d'un fût de colonne sculpté. Elle s'appuie sur un globe étoilé (mais elle est à gauche du globe de l'univers).
Allégorie des principes d'éducation de l'Emile d'après le projet de monument de Jacques Argand, sans le bas-relief du socle.
Frontispice d'Emile (réduction).
M. de Wolmar et sa femme assis sous un bosquet. Saint-Preux de dos, assis, les regarde. Paysage d'arbres à l'arrière-plan.
Réduction de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774.
Un homme s'enfouit la tête dans un lit à baldaquin d'où un autre personnage est en train de se lever.
Réduction de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774.
Scène d'exécution: on lie le couple, Olinde et Sophronie, sur le bûcher. Un [?] guerrier à cheval arrive au milieu des assistants enturbannés.
Réduction de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774.
Jean-Jacques, tête nue, un manuscrit dédié "à la / Provide" sous le bras [g.], se dirige vers l'autel de Notre-Dame à gauche.
Réduction en contre-épreuve de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774 pour les Dialogues.
Le lévite livre sa femme à une troupe armée de gourdins. Derrière lui des personnages se désolent. Le chaume de la maison et les poutres s'ornent d'une vigne. La rue est parsemée de pierres.
Fait partie de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774 pour les Œuvres posthumes.
Dans un port, deux chefs entourés de leurs troupes ouvrent les bras pour s'accueillir.
Réduction (même sens) de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774 pour les Œuvres posthumes.
Un homme, assis de face dans un fauteuil, le bras gauche appuyé à son écritoire posée sur une table,le bras droit tendu vers deux hommes debout qui entrent par une porte située à gauche de la vignette; ils sont tête nue, celui de l'extrême gauche tenant son chapeau de la main droite.
Fait partie de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774 pour les Confessions.
Un cadre à pans coupés, surmonté d'une Renommée qui tient dans ses mains des couronnes et sa trompette, entoure trois médaillons qui sont reliés entre eux une guirlande de couronnes de roses: femme penchée sur un berceau, couple d'amoureux, femme admirant un buisson de roses.
Le médaillon qui occupe la partie inférieure du titre est entouré d'un biniou et d'un morceau de musique "Romance / je lai plante je / lai vu nai-tre ce / beau ro-sier ou les / oi-seaux touts les".
Fait partie de la suite Poinçot in 8°
Julie sur son lit de mort, une jeune fille, les mains jointes, est agenouillée à droite du lit, la tête appuyée sur l'oreiller.
Fait partie de la Suite gravée par Brugnot, édition Barbier.
A genoux devant le lit de Julie, Saint-Preux baise la main gauche de la malade. Deux femmes tentent de le retenir. L'une d'elles tient de la main droite un bougeoir avec une chandelle allumée.
Scène de "L'inoculation de l'amour". Fait partie de la Suite gravée par Brugnot, édition Barbier.
La maison des Charmettes, presque de face, entourée d'arbres, sous un ciel nuageux. Au centre, au premier plan, un soupirail. Sur le sentier, à droite, un homme lisant, canne à la main, coiffé d'un haut-de-forme.
La maison des Charmettes au pied des montagnes, avec le rural à gauche. Au premier plan, au centre une femme et un homme discute, à droite une femme et un enfant de dos s'avancent sur le chemin.
Double trait carré au tire-ligne
L'Evêché de Genève ? (ou de Chambéry ? ou d'Annecy ?)
Au crayon en pied: «[Antérieur à 18]40 année de la démolition / de l'Eveché ancien palais Episcopal / voir annexes à mon ouvrage [' ?'] / publié en 1891.»
L'Evêché de Genève ? (ou de Chambéry ? ou d'Annecy ?)
Sur un mur décoré de bandes zigzagantes, trois tableaux en trompe-l'œil représentant des bâtiments.
Deuxième portrait en buste de Rousseau d'après La Tour, assis sur "une chaise paillée", presque de face, le corps tourné de trois-quarts vers la droite. A sa demande, il est en habit dit arménien avec bordure et bonnet de fourrure.
Portrait en buste de Rousseau d'après La Tour, assis sur "une chaise paillée", presque de face, le corps tourné de trois-quarts vers la droite, en habit dit arménien avec bordure et bonnet de fourrure.
Rousseau en pied, de profil gauche, représenté sur un sentier et herborisant. Calligraphie à la plume et lavis gris, inspiré de Mayer.
Entouré d'un double trait carré (la zone extérieure teintée de bleu pâle) à l'encre; un trait supplémentaire encadre le tout.
Marqué au verso «30» et «sous verre»
Page de titre précédée d'un frontispice formé de portraits en médaillon de «Junius Brutus», «Mutius Scevola», «J.J. Rousseau» (de trois-quarts à droite), «Guillme Tell», placés deux par deux et les uns sous les autres sur un fond noir.
Au-dessous: «En des temps différents, pour servir la Patrie, / Brutus immole un fils et Tell venge le sien: / Scevola dans les fers brave la tyrannie / par Rousseau l'homme instruit est sage et citoyen.»
Portrait de Rousseau en buste de profil droit. Tête nue, coiffure à la romaine, dans un cadre ovale, attaché par un nœud à un cadre rectangulaire gravé. Sous l'ovale des branches de laurier. Au-dessous du cartouche, une draperie à franges.