comprend: 3 étiquettes autocollantes «POLE DANCE ABSINTHE», une bande de 3 petites étiquettes autocollantes (collerettes ?) et 5 mini carnets doubles «JJR POLE DANCE / Absinthe Bovet la Valote» (Donatella Bernardi), dont 3 avec attache élastique
Au premier plan, étendue d'eau avec deux barques et pêcheurs.
Voir le commentaire de FM dans Deux lettres: p. 120.
Témoignage de Th. R. Frêne, je 6 juillet 1786: «le premier Village est Noiraigue, ['] Nous passames par Rosieres, ['] Entre ces deux Endroits se trouve dans la plaine un étang dont la profondeur est immense, à ce qu'on prétend, quoique l'étendue en soit peu considérable. ['] Entre Travers et Couvet se trouve encore dans la Plaine, où serpente d'ailleurs la Reuse, un petit étang ou Creux plein d'eau, comme entre Rosieres et Travers.» (pp. orig. 1926-1928)
Pour remplacer la gravure colorée empruntée au MRVT.
Carte géographique de la Principauté, eau-forte et burin, coloriée à main levée
Datée de 1758 ou 1759 et publiée dans son Atlas portatif.
Pour remplacer la carte de Merveilleux empruntée au MRVT
L'embarquement des lapins
Reproduit un peu maladroitement l'illustration de l'ouvrage de Sigismond Wagner, avec 2 grosses différences: absence du chien sur le mur et Rousseau ne porte pas sa toque.
Reçu de Rousseau en 1777 de sa rente viagère de 300 £ versé par la Vve Duchesne pour le Dictionnaire de Musique terminé à Môtiers en 1764 et imprimé à Paris en 1767 (mais daté de 1768)
Portrait en pied, pour l'illustration de L'histoire der la décadence de l'empire grec et establissement de celuy des Turcs de Laonikos Chalcocondyle.
NB: voir les différences de numérotation
Vue de la Grande Rue par Louis de Marval monogrammée LM, d'après un crayon de David-Alphonse de Sandoz-Rollin
Montre la maison Girardier à l'arête du toit perpendicUlaire et correcte ainsi que le rural attenant. En revanche la maison Rousseau est trop étroite et son toit trop pointu.
Au dos: «Aquarelle Donnée à papa,par M.r Henri de Marval,/ pour en jouir sa vie durant / et me la transmettre à sa mort. / Hérité de papa, Sept. 1922.»
Etiquette dactylographiée: «Propriété de Mme M. [corrigé à la main: Mr. R.] Godet, Neuchâtel.» avec ajout à la main: «Exposé à l'exposition J.J. Rousseau / Neuchâtel 1962 / 110»
Fac similé historique (manquent les 4 lignes du P.S.)
Correspondance de Rousseau avec Maurice Quentin de La Tour pour le remercier d'une nouvelle version du pastel
`Portrait de Rousseau avec la devise' inspiré par La Tour (FM). Ressemble à la gravure de Littret mais dans le bon sens. Rousseau est tourné à droite mais louche un peu, son visage est plus mince et le dernier bouton de son gilet est incomplet.
Au verso au crayon: 2'
Buste de Rousseau, de trois-quarts regardant à gauche, dans un médaillon rond, dans un cadre gravé surmonté d'une banderole traversant une couronne de chêne. Au-dessous, scène allégorique représentant, entre deux peupliers, un tombeau marqué: Ici repose l'homme de la nature et de la vérité. Au centre du bas-relief est gravé: A la nature. Sur chaque peuplier, trois cartouches ronds où est inscrite une œuvre de Rousseau. Devant le tombeau, deux femmes, deux nourrissons, cinq enfants, une brebis.
«On disoit un jour à de Buffon: Vous aviez dit et prouvé avant J.J. Rousseau que les meres / doivent nourrir leurs enfans. ' Oui, répondit cet illustre naturaliste, nous l'avions tous dit; / mais Rousseau seul le commande, et se fait obéir''»
Portrait en buste de Jean-Jacques Rousseau, tête nue sans perruque, de trois-quarts à gauche, un portefeuille sous le bras gauche, dans un cadre ovale de feuilles de chêne serrées par un ruban qui s'achève en bas par un nœud. Fond d'arbres.
«Belle estampe conjuguant le portrait La Tour et le buste de Houdon "à la romaine"» (FM)
au crayon au verso: gravure à la manière noire / épreuve avant la lettre / très / rare ['] achetées à / Fernand Roches [? = Roch] / le 13 XII 48 / 30 frs S.
Portrait de Rousseau représenté presque de face, visage légèrement tourné à gauche. Il porte l'habit du «citoyen de Genève». Le portrait est placé dans un ovale marqué par un trait épais.
«Annoncé dans le "Mercure" de 1793, ce portrait fut exposé au salon de l'an IV. Copie inspirée par La Tour.» (FM)
Buste de Rousseau, regardant de face, le corps de trois-quarts à gauche, dans un médaillon ovale dans un cadre rectangulaire.
Légende à la plume rouge avec jour de décès inexact («3 Juillet»)
Buste de Rousseau, tourné de trois.quarts à droite, en perruque, le corps jus
qu'à la ceinture, les bras sans les mains et l'habit orné de quatre boutons.
Au verso, au crayon: «180 F»
Portrait de J. J. Rousseau en habit à la française.
«En dépit de la note "gravé sur acier par Hopwood d'après le buste de Houdon.", le dossier de la chaise lui donne plutôt pour origine le pastel de La Tour.» (FM)
Au verso au crayon : «90 f»
Portrait en buste de Jean-Jacques Rousseau de trois-quarts à gauche, tête nue, perruque ronde, en habit à la française dans un ovale placé (cadre carré avec macarons aux coins) sur une console dont le cartouche porte sa devise.
Premier portrait gravé d'après la Tour; frontispice de l'édition de Neuchâtel 1764.
Au verso au crayon: «75 f»
Etat encore peu avancé de la gravure.
«Portrait de Jean-Jacques [jeune] qui le représente tourné de trois-quarts à gauche, la tête nue [et penchée en avant], sans perruque, avec son vêtement d'Arménien.» (Girardin)
Au crayon: «5 F»
Buste de Rousseau de face, visage tourné de trois-quarts à droite, en habit à la française. Forme «pour bonbonnière». Cadre en cuivre sommé d'une guirlande de roses et nœud de ruban.
Au verso au crayon: 340 BIS et 316
Absent chez Girardin [en dépit des inscriptions au verso]
Ce médaillon ne correspond aux portraits ni de Ingouf (G1 155), ni de J. Pourvoyeur (G1 208) ni de Tardieu (G1 211), ni de F. Bonneville (G1 275),
ni d'un anonyme (cf. G1 376), voire du contretype attribué à Sauvage (G1 337)..., ni même à celui de Merché G2 329bis suggéré par M. Termolle le 01.10.2017