«A [gauche] on aperçoit une femme qui représente la Raison. Elle est placée, de profil à [droite], en face d'un temple de forme ronde. Elle a un mors à la main et reçoit dans ses bras un homme vu de face. Cet homme est habillé à l'antique. On aperçoit dans les airs Minerve qui écarte, à l'aide de son bouclier et de sa lance, des Amours qui semblent sortir du temple.» (G2: p. 28, 1e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée
«un salon; à [gauche], on aperçoit un homme assis devant un clavecin en train de baiser la main d'une femme, debout de face, occupant le centre de l'estampe. Une seconde femme vue de dos, debout, est en train de lire une page de musique. Une porte entr'ouverte se trouve à [gauche] derrière le personnage qui est au clavecin. Le fond de la vignette est occupé par les grands rideaux fermés d'une fenêtre.» (G2: p. 333, 10e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«un parc et près d'un bosquet en treillage, à [gauche], on aperçoit Julie, de profil à [droite], qui dans les bras de Saint-Preux l'embrasse; plus à [gauche] encore, de trois-quarts à [droite], se tient Claire.» (G2: p.28, 2e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«une chambre; sur une table est posé un bol de punch. Mylord Edouard et St-Preux sont debout et se disputent. M. d'Orbe est assis, vu de dos, entre eux deux et cherche à les calmer.» (G2: p.29, 3e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«intérieur d'une chambre. Le père de Julie, la main en l'air, veut la battre. Il est à [droite], de trois-quarts à [gauche]. Julie est à [gauche], tournant presque le dos, une main sur les yeux, l'autre levée. La mère, placée entre eux deux, la tête de profil à [droite], regarde son mari en protégeant de ses bras sa fille.» (G2: p. 30, 4e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«Milord Edouard en déshabillé dans sa chambre; il est assis devant sa table éclairée par deux bougies. Il a devant lui un papier qu'il tient de la main [droite]. St-Preux entre à [gauche], de profil à [droite], tenant son épée à la main et ayant sur la tête son chapeau. Il montre à Milord Edouard son épée posée à [droite] sur un fauteuil.» (G2: p. 30, 5e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«Saint-Preux sort de chez des femmes du monde où il avait été conduit sans le scavoir.» (G2: p. 30, 6e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«une chambre. Julie, à [droite], dans un fauteuil, s'évanouit en voyant sa fille tomber. A [gauche], St-Preux relève celle-ci. Au milieu, Claire se précipite vers Julie. Derrière elle, à [droite], on aperçoit M. de Wolmar et à [gauche], dans la porte ouverte, une femme.» (G2: p. 34, 12e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«une chambre à coucher. Une femme est couchée et tend sa main [gauche] à baiser à un homme qui, le genou [gauche] en terre, tient de sa main [gauche] celle de la femme et la baise avec tendresse.
Une jeune femme debout, presque de face est au pied du lit, tandis qu'une autre femme, de profil à [droite], essaie de relever l'homme à genoux. Le lit est à [droite] et une table se trouve à [gauche].» (G2: p. 31, 7e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«grille d'un parc placée à [gauche]. Julie tient la main de St-Preux qui est à [droite] et par conséquent à sa [gauche]. Elle le présente à M. de Wolmar qui est à [gauche] de la planche, de profil à [droite]. A [droite], au dernier plan, des hommes ddes bagages d'une voiture.» (G2: p. 32, 8e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«une barque qui est poussée par les lames vers la [gauche] de la planche sur les rochers. Des hommes repoussent la barque avec des gaffes. Tandis que Julie, debout, la figure de trois-quarts à [gauche], regarde St-Preux qui tourne le dos et travaille à éloigner le bateau. Elle a le bras [gauche] levé et lance des regards effrayés.» (G2 : p. 32, 9e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«Julie, à [droite], se précipite d'un talus pour secourir son fils qui est tombé à l'eau. Derrière elle, le bailli de Chillon et une femme tâchent de la retenir. On aperçoit entre la femme et Julie un des enfants de cette dernière qui veut aussi s'élancer.
Au milieu, au dernier plan, trois personnages; à [gauche], dans le lointain, un village.
Au premier plan, à [gauche], l'enfant qui se noie.» (G2: p. 33, 11e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«à [gauche], un lit à rideaux et baldaquin; Claire et Julie sont couchées, l'une morte, l'autre évanouie. A [droite], une femme, au pied du lit, accourt les mains étendues. Derrière le lit, à la tête, on aperçoit M. de Wolmar en madras;à côté de lui, trois autres femmes pleurent.»(G2: p. 34, 13e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
Buste de Rousseau regardant à gauche.
«Contre-épreuve en réduction du frontipice de Cochin gravé pour l'édition de Defer, illustrée par Monsiaux.»
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«une chambre à coucher ; autour d'une table ronde sont assis un homme, une femme et une [fillette]. Près du lit, deux enfants presque nus jouent, l'un avec un chat, l'autre en se traînant sur le tapis.» (G2: p. 35, 1e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«un jardin potager. A [droite], on voit un jardinier, de profil à [gauche], son chapeau sur la tête et tenant sa bêche. A [gauche], J.J. Rousseau, de profil à [droite], tient Emile par la main. Celui-ci tient un arrosoir de sa main [gauche].» (G2: p. 35-36, 2e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«Emile court vers la [gauche], en tête d'un groupe d'enfants. A [gauche] est Jean-Jacques près du but sur lequel on aperçoit un gâteau. Des paysans regardent ce spectacle.» (G2: p. 36, 3e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«Au milieu d'un paysage boisé, J.-J. Rousseau et Emile, à [droite], se dirigent vers la [gauche]. Au fond, à [gauche], le clocher de Montmorency s'élève au milieu du village.» [scène «le Méridien» où Emile découvre l'orientation] (G2 : p. 36-37, 4e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«Sur le haut d'une colline, on aperçoit, à [droite], Rousseau et le vicaire savoyard qui regardent à [gauche] le paysage qui s'étend à leurs pieds; le Pô et les Alpes dans le lointain.» (G2: p. 37, 5e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«"Un violent exercice étouffe les sentimens tendres." Jean-Jacques et Emile chassent. Emile occupe la [droite] et se prépare à tirer sur des perdrix qu'on voit à [gauche].» (G2 : p. 37, 6e planche) Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
«Au pied d'un gros arbre, deux jeunes femmes et quatre jeunes hommes déjeunent sur l'herbe. Une femme trinque avec un paysan qui[, une bêche sur l'épaule,] est à [droite], tourné de trois-quarts à [gauche]. Au premier plan, on voit une pièce d'eau où flottent des bouteilles.» (G2: p. 37-38, 7e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.
Pièce non terminée ?
«une salle à manger. Autour d'une table sont assis: Jean-Jacques, Emile, le père de Sophie et la mère. Sophie est debout, à [gauche], de profil à [droite], appuyée sur sa chaise et tenant la main de sa mère. Emile, à [droite], tend ses bras vers Sophie.» (G2: p. 38, 8e planche)
Suite complète de gravures (23) de Moreau-le-Jeune par Lorieux, semblable à celle gravée pour l'édition Cazin de 1780 (voir G2: p. 76-81) en contrepartie de la suite de l'édition de 1774 (G2: p. 27-39), les vignattes de «la Nouvelle Héloïse» d'abord (13 ' pas dans l'ordre et avec une numérotation fantaisiste), puis celles de l'«Emile» (1 + 9). La première planche de l'«Emile» est de Cochin.
Sous la forme d'un cahier sommairement broché, sous une légère couverture tardive, portant une inscription au crayon controuvée.