L'Evêché de Genève ? (ou de Chambéry ? ou d'Annecy ?)
Au crayon en pied: «[Antérieur à 18]40 année de la démolition / de l'Eveché ancien palais Episcopal / voir annexes à mon ouvrage [' ?'] / publié en 1891.»
L'Evêché de Genève ? (ou de Chambéry ? ou d'Annecy ?)
Sur un mur décoré de bandes zigzagantes, trois tableaux en trompe-l'œil représentant des bâtiments.
Petit portrait de Rousseau, en pied, appuyé contre le pied d'un arbre, tête nue, bras croisés sur sa canne, un bouquet à la main. Décor forestier.
Cadre rectangulaire, coupé aux quatre angles. Il est entouré d'arabesques et de feuillages. Au-dessus, une étoile à six branches rayonne sur une lyre traversée par une branche de laurier. Un double trait "carré" cerne l'image.
Au-dessous, J.J. Rousseau, puis Prière de Rousseau: «L'Eternel ne se voit ni ne s'entend ; il / '» (texte de 8 lignes).
Refuge de Jean Joseph Renou ' J.J. Rousseau en 1767, d'où une légende totalement erronée, corrigée par une inscription au crayon sur l'encadrement: Rousseau écrivit dans ce château le 6e livre des Confessions
Vue sur l'Areuse avec la tour Marfaux dans le fond.
Tiré de «Le Canton de Neuchâtel illustré». Edition A. Château, La Chaux-de-Fonds, 1890.
«Au cabaret, J.J. Rousseau fait la connaissance du faux archimandrite» (FM).
«réduction d'une grande pièce représentant une scène de l'"Emile": comment retrouver son chemin ' Montmorency» (FM), connue sous le titre «Le Méridien», ici Rousseau seul, Emile supprimé et paysage plutôt lémanique.
Portrait de Rousseau en buste, de trois-quarts regardant à droite, d'après le portrait en Arménien du Baron Gérard, «les yeux malicieux et le sourire aux lèvres».
Vue en direction de Fleurier, avec un pêcheur au premier plan et le Chapeau de Napoléon dans le fond.
Tiré de «Le Canton de Neuchâtel illustré». Edition A. Château, La Chaux-de-Fonds, 1890.
Vue de la maison natale de J. J. Rousseau à Genève, isolée dans la nature.
2e planche de l'Album Vues / de différentes habitations / de / J. J. RouSseau [']
Reste d'onglet au verso
«Au premier plan (à g. et à dr.), deux grands arbres forment cadre pour la maison du receveur. Un chemin y mène vers la gauche. On y voit Rousseau se dirigeant vers la gauche. Il s'appuie sur une canne. Il est en habit ' il porte son tricorne sous le bras. A l'arrière plan, d'assez hautes montagnes.» (FM)
Rue Plâtrière à Paris, actt Rue Jean-Jacques Rousseau.
6e planche de l'Album Vues / de différentes habitations / de / J.J. RouSseau avec son portrait et le fac similé d'un air de sa composition, pour faire suite à ses œuvres. Paris : Impr. Lith. de C. de L., 1819 ([Paris]: de l'imprimerie de Firmin Didot, imprimeur du roi, de l'Institut, et de la Marine, rue Jacob, no 24)
27 p., XIII p. de pl. : ill. ; 25 cm.
Inscriptions au crayon au verso de l'estampe
Petit portrait de Rousseau, en pied, appuyé contre le pied d'un arbre, tête nue, bras croisés sur sa canne, un bouquet à la main. Décor forestier.
Cadre rectangulaire, coupé aux quatre angles. Il est entouré d'arabesques et de feuillages. Au-dessus, une étoile à six branches rayonne sur une lyre traversée par une branche de laurier. Un double trait "carré" cerne l'image.
Au-dessous, J.J. Rousseau, puis Prière de Rousseau: «L'Eternel ne se voit ni ne s'entend ; il / '» (texte de 8 lignes).
«Page de titre d'un ouvrage de musique J.J. Rousseau nature herborisant.» (FM)
inscriptions au crayon au verso
Vue de la chambre de Voltaire à Fernex entourée, à gauche, d'un portrait de Voltaire de face et, à droite, d'un portrait de Voltaire de profil à gauche.
La vue est surmontée d'indications identifiant les tableaux suspendus au mur, de g. à dr.: «Catherine / II.», «Le Roi / de Prusse», «Le Kain», «Voltaire / Jeune», «La Marquise / Duchâtel.»
En dessous: «Son esprit est / partout et son coeur / est ici.» // «Mes manes sont / consolés, puisque mon / coeur est au / milieu de vous»
Marqué au crayon au verso: 25.'