Gravures

Portrait en pied de J. J. Rousseau à claire-voie, «herborisant à Ermenonville. Il est tourné vers la gauche ; il porte son tricorne sous le bras gauche, quelques fleurs dans la main droite, et tient sa canne de la gauche. L'habit est ouvert, le gilet boutonné. On aperçoit, au fond, l'étang bordé de quelques arbres et, au-delà, à g. de Rousseau, un château sur une colline et, à dr. un hameau avec un clocher». (FM)

Maison où naquit Jean-Jacques Rousseau à Genève. Une rue montante où quelques personnages, dans le coin droit, désignent la maison. Celle-ci porte des enseignes: «COULON / FACTEUR D'OUTILS», «BENOIT ET / Ce / HORLOGE» et «ICI EST NÉ / J.J. ROUSSEAU»

Dans un cadre de bois ovale avec un ornement sculpté, style «graveur des ours bernois», entouré de deux putti se terminant en queue de verdure, dont les ailes embrassent une ove, une gravure représente Rousseau en buste tourné de profil à droite, tête nue, cheveux au naturel.

Cadre rectangulaire de bois creusé d'un cercle contenant un buste gravé de Rousseau sur fond noir, profil à droite, nu tête, chevelure au naturel, épaules nues. Au dessous, en blanc, l'inscription Vir. Rond de 120 mm de diamètre et 20 de profondeur, le cercle au fond a 82,5 de diamètre; gravure, dim.: 63,9.

Bloc de bois sur lequel est clouée une plaque de cuivre gravée qui montre le buste de Rousseau de profil à gauche, tête nue, coiffure à la romaine.

Montée sur un bloc de bois, la plaque de cuivre rectangulaire gravée présente l'image traditionnelle du Rousseau herborisant, debout, de profil à gauche, tête nue, chapeau sous le bras gauche qui tient la canne, un bouquet à la main droite portant un bouquet. Le résultat au tirage est une image inversée comme MRM 02.4.120.

H. B.: «Le tombeau de Jean-Jacques Rousseau, à Ermenonville, d'après la gravure de Godefroy, dessinée par Gandat, d'après nature (1791). Epreuve sur soie. Rarissime sinon unique. Don de Madame Porgenon [?] pour ma préface du Catalogue de sa collection révolutionnaire, 3 et 4 déc. 1909, jours de la vente [?]»

«Vue de Clarens depuis le lac (inhabituelle perspective)» [d'après archives] Inscription effacée au crayon: Trachsler [?]

Scène de la pseudo-lapidation. Gravure par place seulement esquissée

Vue du presbytère de Bossey où J. J. Rousseau a passé sa jeunesse chez le pasteur Lambercier. Trait carré intérieur renforcé en noir

La maison des Charmettes, presque de face, entourées d'arbres. sous un ciel nuageux. Au centre, au premier plan,un soupirail. Sur le sentier, à droite, un homme qui se promène dont le chapeau en haut-de-forme de la gravure de Hamilton / Guyot (voir 92.5.52) est remplacé par un chapeau rond. Inscriptions au crayon: Mu 17 / 42; 10.'; effacé: ' ? '

Portrait de J. J. Rousseau «représenté de profil à droite dans un médaillon rond. Il est nu-tête, il porte perruque frisée. Son habit fermé laisse seulement dépasser le col de toile. Le médaillon est suspendu par une boucle à un nœud de ruban, accroché à uin cdre gravé, limité par un trait carré. Au-desous du médaillon, un cartouche, fixé par deux clous sur deux branches de laurier entre-croisées, porte la mention [']» (FM) "Quant à l'estampe où le visage est de profil, elle n'a pas la moindre ressemblance: il paraît que celui qui l'a faite ne m'avait jamais vu, et il s'est même trompé sur mon âge." (Lettre à Laliaud, 14 octobre 1764)

Portrait de J.J. Rousseau herborisant en habit à la française, visage tourné à gauche, bouquet dans la main droite, canne dans la main gauche, son tricorne sous le bras. L'œuvre correspond au N° 20 de Girardin: "Mayer avait aussi dessiné d'autre part un portrait de J.-J. Rousseau devant le pavillon [il a été détruit] que ce dernier habitait à Ermenonville, mais dans de plus grandes proportions (in-4) et cependant disposé de la même façon que le petit in-8. Ce portrait fut gravé par H... . La planche de cuivre se trouve dans mes archives [elle est exposée à Chaalis]. Ce portrait est assez rare. Rousseau, proprement dit, y mesure 15 centimètres. Il est entouré d'un trait carré de 15 cent. 9 sur 21 cent. 5. La planche de cuivre mesure 18 cent. 7 sur 26 cent. 2. Rousseau est sur le premier plan; au fond à gauche, on aperçoit sa maison entourée de palissades et de peupliers, à droite l'ancien pont d'Ermenonville avec sa lanterne et en dernier plan tout à fait [à droite] le temple de la Philosophie entouré d'arbres. En bas, sous le trait carré, on lit à gauche: Mayer del., à droite: H., au milieu: / J.-J. Rousseau / Et la vüe du Pavillon qu'il habitoit [sic] à Ermenonville /. " [p. 20]

Portrait de Rousseau «herborisant dans la campagne au bord d'un étang. Il est représenté en pied, de profil à droite, son chapeau sous le bras droit; il s'appuie sur sa canne qu'il tient de la main droite; dans la main gauche, il tient un bouquet. Le paysage est assez dénudé. Rousseau suit un petit chantier qui longe une rive (au premier plan). Des plantes diverses croissent au bord de l'eau et, dans les anfractuosités d'une butte rocheuse (à dr.), s'élèvent quelques petits arbres et buissons. L'image est limitée par un trait carré.» (FM) «copie du dessin de Mayer» (FM)

Portrait de J. J. Rousseau au pointillé, «représenté debour à mi-corps, tourné de trois-quarts à gauche, en habit de citoyen de Genève. Derrière lui, le dossier d'une chaise. Devant lui, une table sur laquelle repose un manuscrit ouvert, un encrier avec une plume d'oie, un livre couché, marqué au dos CON / SO, et trois livres debout, marqués au dos DEV, JULI et EMI / LE. Rousseau tient ce dernier dans la main droite, le bras est plié.Le bras gauche pend le long du corps et la main tient un bouquet où se mêlent roses et fleurs des champs. Le tableau est entouré d'un médaillon ovale sans cadre.» (FM)

Portrait de Rousseau. «Dans un paysage boisé, on voit Rousseau, assis sur un tertre au pied d'un arbre. Il est en train d'herboriser. Le philosophe se repose appuyé sur sa canne; il est tourné de trois.quarts à droite; [les bras croisés,] il tient un bouquet de fleurs [pervenches] d'une main. son chapeau de l'autre.» (FM)

Portrait à claire-voie de Rousseau «assis sur une chaise rustique, devant une table installée dans un champ; il porte le costume et le bonnet d'arménien. Le corps est tourné de profil vers la droite, la tête de trois-quarts. Son bras droit repose sur la table, la main maintient un livre ouvert. Dans la main gauche, qui apparaît sous le plateau de la table, Rousseau tient quelques fleurs. Le dessin s'arrête au-dessous du placet [= de l'assise] de la chaise. Signé verticalemel sur le pied de la table. Les lettres A.M. sont inscrites dans les plis de la robe d'arménien.» (FM)

Portrait de J. J. Rousseau «représenté à mi-corps, assis sur une chaise, dans une chambre. Il est tourné de profil à gauche. Il porte l'habit et le bonnet d'arménien. La main gauche est glissée dans le gilet, entr'ouvert; la main droite repose sur la tableet sur un exemplaire ouvert de la Nouvelle Héloïse. On y voit encore un autre livre, et un cahier de musique. Une tenture drapée cache en partie une fenêtre (à g. en haut) par où on découvre un paysage de montagnes. Le mur de perres nues est orné (à dr. en haude Platon fixé par des clous. [']» Sous la signature, cinq vers répartis de part et d'autre d'une couronne de chêne.» (FM): «Puisque vous le voulez absolument, Monsieur, voici deux mauvaises esquisses que j'ai fait faire, faute de mieux, par une manière de peintre qui a passé par Neuchâtel. La grande est un profil à la silhouette, où, j'ai fait ajouter quelques traits en crayon pour mieux déterminer la position des traits; l'autre est un profil tiré à la vue. On ne trouve pas beaucoup de ressemblance à l'un ni à l'autre: j'en suis fâché, mais je n'ai pu faire mieux'» (Lettre à Laliaud, 7 avril 1765) «J. B. Michel, très jeune, a également exécuté un buste appartenant à une amie de l'Association [voir NRN N°60]» (FM)

Portrait de J. J. Rousseau «représenté en pied, assis sous un arbre au bord d'un chemin. Il est nu-tête, et porte l'habit de Rousseau herborisant. Il a croisé les mains sur sa canne qu'il tient entre ses jambes; dans la main droite, quelques fleurs qu'il a cueillies. Son tricorneest posé à terre sur un livre. La route s'éloigne vers le fond du tableau. (On y voit un personnage portant un baluchon sur l'épaule.) Elle passe devant un bâtiment qui ressemble à un couvent, mais aussi à la maison de l'île de St. Pierre, avec son clocheton. Dans le lointain un lac, et, enfin des montagnes.» «La silhouette de Rousseau herborisant est née de son séjour à Ermenonville. Mais la "Cinquième promenade" des "Rêveries du promeneur solitaire" a incité certains graveurs à représenter Jean-Jacques dans le paysage de l'Ile de St-Pierre.» (FM)

Portrait de Rousseau «représenté assis sur un rocher dans un paysage de montagnes. Il est tourné de trois-quarts à gauche, le visage presque de face. Il est tête nue, et porte le vêtement du Rousseau herborisant. A la main droite, il a son tricorne qu'il a posé sur sa cuisse. Sa canne est debout entre ses jambes. Le bras gauche pend. La main tient un manuscrit qui porte: Lettres de la Montagne. A ses pieds, à droite, un ballot de toile d'où sortent des liasses et rouleaux de manuscrits, et des livres (l'un marqué au dos EMILE). A gauche, un sapin; à dr. et à g. au deuxième plan, des rochers dénudés. A dr. derrière Rousseau, on voit un lac et un bourg sur la rive opposée. Le fond représente un sévère décor de hautes montagnes.» (FM) Au bas, un texte de 9 lignes (vie résumée)

Portrait de Rousseau «assis à une petite table, tourné de trois-quarts à droite. Il porte l'habit d'arménien (toque à bord de fourrure, col de toile) [inspirée de La Tour/baron Gérard]. Il est en pantouffles. Ses bras reposent sur la table. Il tient une loupe dans la main droite, une plante dans l'autre. Des planches de botanique sont posées devant lui, ainsi qu'une plante fleurie. La table est couverte d'un tapis à frange. En face de lui son chien, debout, le regarde, la langue légèrement pendante, la queue relevée semble battre. Rousseau est assis sur une chaise rembourrée dans une chambre. Au premier plan, à sa droite, une corbeille contient d'autres fleurs qu'il va examiner. Contre la paroi de gauche, derrière Rousseau, se trouvent deux rayons de livres, dont le Contrat Social et quatre volumes, marqués au dos Nouvel. Héloïse. Derrière le chien un tabouret porte un pot contenant une plante fleurie. La chambre s'ouvre ' par une large fenêtre, ornée de rideaux passés à une tringle ' sur un paysage: celui de l'île de St. Pierre avec le lac, des falaises sur l'autre rive et les Alpes bernoises dans le fnd. Plancher de bois et plafond à poutres apparentes.» FM) Timbre sec bas gauche: « P C » entrelacés Au dos sont collés deux papiers découpés: «Lith. De Villain.» / «A Paris, chez Chaillou-Potrelle, rue S.t honoré, N.° 140.» (en lettres anglaises) Tout dans cette représentation relève de l'imaginaire ! (RK)

Portrait de Rousseau idéalisé, écrivain et musicien, «représenté assis sur un siège dont le dossier figure une lyre. Il est tourné de trois-quarts à gauche. Il porte l'habit du Rousseau herborisant; il est tête nue. Il est installé devant une petite table sur laquelle repose un encrier et une liasse de feuilles. Il est occupé à écrire avec une plume d'oie. Table et chaise sont installées sur une sorte de tertre d'où jaillissent (à g.) un palmier, et, (à dr.) un laurier, un rosier grimpe au pied de ce dernier. Ces deux arbres s'élèvent comme deux colonnes, et leur feuillage s'inciûrve au-dessus de Rousseau. Une couronne de 20 étoiles auréole sa tête.» (FM) Grande image d'Epinal. Sorte d'affiche populaire de l'époque de la Révolution. «Avec les signes de la gloire: palmes, laurier, roses, étoiles» (FM) Timbre de douane rouge au dos

Image un peu naïve inspirée par celle de Le Barbier Rousseau y porte une toque bordée de fourrure mais y apparaît barbu: le paysage alentour y est de la plus haute fantaisie. Le tirage a été fortement émargé faisant disparaître l'inscription de la maison d'édition. Le format original de la feuille est: 30,5 x 49,0 (renst de Michel Termolle 29.04.2018) Cadre doré à la feuille Offert à Roland Kaehr pour son Musée à l'occasion de la remise des insignes de Chevalier de l'Ordre des Arts et Lettres au conservateur lors de l'AG de l'AJJR Absent chez Girardin

Portrait de J. J. Rousseau portant «l'habit du "citoyen de Genève"; le visage est légèrement tourné à gauche; il est tête nue; le buste est tourné de trois-quarts à gauche. Le portrait est entouré d'un cadre formé de cinq traits carrés» (FM) «Ce portrait a été fait d'après le buste de Houdon de 1778.» (FM)