Sed tamen haec cum ita tutius observentur, quidam vigore artuum inminuto rogati ad nuptias ubi aurum dextris manibus cavatis offertur, inpigre vel usque Spoletium pergunt. haec nobilium sunt instituta.
Dans une chambre à coucher, Julie est dans le lit sous un dais. A droite Saint-Preux à genoux à côté du lit baise la main de la malade. Mme d'Orbe tente de l'écarter. Une tête d'homme apparaît derrière le haut du lit. Une femme debout à gauche joint les mains. A droite devant le lit une table ronde avec un plat, cruche, cafetière et verre et médecine. Sur le mur au fond, un portrait.
6e vignette pour La Nouvelle Héloïse, réduction de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774.
La vignette représente un salon; à droite auprès d'une petite table ronde sont assis M. de Wolmar et Saint-Preux, qui tient un journal. A gauche, au premier plan, une femme est assise dans un fauteuil, de profil à droite. Au fond près d'une fenêtre, une autre femme coiffée, de profil à droite, travaille sur un coussin de dentelière.Au dernier plan au milieu, des enfants jouent, écoutant une femme debout.
9e vignette pour La Nouvelle Héloïse, réduction de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774.
La vignette représente une pièce dans laquelle, à droite Julie est évanouie dans un fauteuil, de profil gauche;Claire l'embrasse à genoux. A gauche, on aperçoit Saint-Preux, M. de Wolmar et Henriette qui, à genoux, lève les bras. A l'arrière, une femme regarde par la porte ouverte.
10e vignette pour La Nouvelle Héloïse, réduction de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774.
Saint-Preux tient dans ses bras Milord Edouard dans une chambre coupée au fond à gauche par un paravent devant lequel est placé un fauteuil. A droite se trouve une table ronde napée sur laquelle est étalé un nécessaire d'écriture. Près d'elle, une chaise où sont posés une épée et un tricorne.
11e vignette pour La Nouvelle Héloïse, réduction de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774.
Bord escarpé d'un lac. Sous les arbres, deux femmes, un enfant et un homme tendent les bras, désespérés, et dirigent une barque vers Julie flottant en tenant son enfant du bras droit et levant le gauche vers la rive. Au fond, on distingue derrière la barque une localité et des coteaux élevés.
12e vignette pour La Nouvelle Héloïse, réduction de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774.
Dans une chambre, un couple enlacé [Zulietta et Jean-Jacques] regarde une paire de pistolets posés sur une table de toilette. [A gauche,] un soldat coiffé du tricorne et portant épée les regarde, appuyé sur une canne. [Le trumeau de la porte est couronné d'une Léda et le cygne].
2e vignette pour les Confessions, réduction de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774.
Dans un parc, au milieu des arbres et près d'une fontaine jaillissante, Jean-Jacques, assis à côté d'une femme, Mme d'Houdetot, lui baise la main droite. La lune éclaire la scène. On distingue, au fond, le mur qui clôt le parc et la maison.
3e vignette pour les Confessions, réduction de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774.
Dans son jardin, le pasteur Lambercier, armé d'une pioche, montre de sa main gauche à Jean-Jacques et à son cousin Abraham Bernard un arbrisseau planté devant lui. A gauche, un jardinier le chapeau sur la tête.
1ère vignette pour les Confessions, réduction en contre-épreuve de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774.
A droite, Jean-Jacques. perché dans un arbre, laisse choir des cerises dans le tablier de l'une des amies, Graffenried et Galley. Son chapeau est au pied du cerisier. A l'arrière-plan, un chalet et des sapins.
2e vignette pour les Confessions, réduction en contre-épreuve de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774.
Sur un chemin qui mène vers Paris dont on voit au loin l'île de la Cité et qui passe près d'un moulin à vent, un homme (Jean-Jacques Rousseau), tête nue et le tricorne sous le bras gauche, joint les mains en regardant la ville, debout sous un arbre.
3e vignette pour Emile.
Chambre à coucher avec plafond de poutres. Dans l'angle gauche, un lit avec ses rideaux et, devant une porte fermée, une chaise renversée et un bougeoir. Un homme effrayé en robe de chambre, le pied gauche nu, tend les bras vers un fauteuil où sont des vêtements dont l'un est tombé à terre.
Vignette pour La Nouvelle Héloïse.
Vignette représentant Mme d'Epinay offrant à Jean-Jacques Rousseau un asile, l'Ermitage de Montmorency. Le couple est à droite, dans un décor d'arbres et de plantes. Mme d'Epinay montre la maison devant une pente boisée.
Vignette pour Les Confessions.
Scène d'intérieur, la reine, à gauche, assise sur un fauteuil, tient un nourrisson sur ses genoux. Elle tend le bras gauche vers un autre enfant que lui apporte un homme. Deux femmes entourent la reine. En arrière-plan, statue de deux anges se baisant la bouche.
Vignette pour La Reine Fantasque.
Sur un chemin qui mène vers Paris dont on voit au loin l'île de la Cité et qui passe près d'un moulin à vent, un homme (Jean-Jacques Rousseau), tête nue et le tricorne sous le bras gauche, joint les mains en regardant la ville, debout sous un arbre. Un saule se dresse à droite.
Frontispice de L'homme des champs ou les Géorgiques françaises de Jacques Delille, 1801.
Dans une chambre autour d'une table sur laquelle se trouvent un bol de punch, une coupe, une tasse et deux chandeliers qui éclairent la scène., Mylord Edouard et Saint-Preux sont debout et se disputent. M. d'Orbe, de dos, assis entre eux deux lève les bras au ciel et cherche à les calmer. A droite, un lutrin et un violon posé sur un fauteuil.
3e illustration pour La Nouvelle Héloïse de la suite in 4° de Moreau-Dupréel de 1774-1783.
Allégorie sur le bonheur, la richesse, l'abondance et les arts avec le portrait de Jacques Necker (1732-1804)
Grande estampe avec le portrait de Necker, de face légèrement à droite, au centre en médaillon. Celui-ci est entouré d'un collier où pend une médaille représentant Louis XVI de profil. Un vaste cadre ovale suspendu à une boucle ornée d'un ruban noué contient des nuées et le médaillon central surmonté d'une couronne et flanqué à gauche de Mercure sur le globe terrestre avec les attributs de la richesse (coffre et urne débordant de pièces) et de Cérès sous un palmier tenant une corne d'abondance et assise sur les attributs de l'abondance (gerbes) et des arts. Des amours dorment dans les gerbes. Un amour assis sous le portrait tient les armes de Genève.
Au crayon au dos: 12 frs 50 / 420
Portrait en buste de Jean-Jacques Rousseau, tête nue sans perruque, de trois-quarts à gauche, un portefeuille sous le bras gauche, dans un cadre ovale de feuilles de chêne serrées par un ruban qui s'achève en bas par un nœud. Fond d'arbres.
Dans un cadre carré ayant au centre un médaillon ovale, Rousseau jeune, tête nue, jabot de dentelle et cravate nouée sur la nuque, est tourné de trois-quarts vers la droite. Le cadre ovale est surmonté d'une couronne et de guirlandes de chêne attachées par un ruban. En-dessous, une loupe surmontée d'un voile et de six étoiles brûle par ses rayons une figure diabolique à chevelure serpentiforme et aux yeux bandés entourée de fers de lance et autres instruments. Des volutes de fumée s'échappe une chauve-souris. A gauche, un buste de femme multimammaire renversé près d'un livre sur lequel repose un sceptre.
Au dos, feuilles autographes (vente immobilière); au crayon: 25.
Portrait en pied de Jean-Jacques Rousseau de profil gauche. Au seconf plan, l'ìle des Peupliers à Ermenonville avec son tombeau. Il tient dans sa main droiteune liasse de feuilles intitulée "Contrat salutaire" [sic], sous son bras gauche son tricorne. Au-dessus de sa tête brille une auréole entourant le texte «l'Homme Phénix».
Portrait en buste de Jean-Jacques Rousseau de trois-quarts à gauche, tête nue, perruque ronde, en habit à la française dans un ovale placé (cadre carré avec macarons aux coins) sur une console dont le cartouche porte sa devise.
Entouré d'un double trait carré à l'encre de Chine.
Premier portrait gravé d'après la Tour; frontispice de l'édition de Neuchâtel 1764.
Portrait en pied de Jean-Jacques Rousseau de trois-quarts à gauche, en habit à la française. Il est tête nue, perruque ronde, son tricorne sous le bras gauche, tenant sa canne de la main gauche, un bouquet de fleurs (pervenches ?) de la droite
Au centre, buste de Rousseau en piédouche, tourné de trois-quarts sur sa droite et drapé à la romaine, posé sur un piédestal cylindrique.Le soleil dont on voit les rayons se lève derrière lui. Rousseau y est représenté âgé, chauve, sans sa perruque. A gauche, devant le piédestal, une femme donne le sein à son enfant, en levant le bras vers le buste qu'elle fixe. A droite, deux enfants nus ' couchés sur le ventre sur des rouleaux de papier où se devine le titre de l'Emile ' tendent les bras vers le philosophe. De chaque côté du cadre, formant berceau et cadre en même tempsau buste, s'élèvent de grosses branches de chêne.
Portrait en buste de Rousseau de profil gauche, en habit à la française et perruque dans un médaillon rond. Le cercle découpé a été fixé sur un papier et entouré de deux larges traits à l'encre de Chine limitant un cercle brun granulé de points noirs.
Portrait en buste de Rousseau de profil gauche, en habit à la française et perruque dans un médaillon rond. Le cercle découpé a été fixé sur un papier et entouré de deux larges traits à l'encre de Chine limitant un cercle brun granulé de points noirs.
