Sed tamen haec cum ita tutius observentur, quidam vigore artuum inminuto rogati ad nuptias ubi aurum dextris manibus cavatis offertur, inpigre vel usque Spoletium pergunt. haec nobilium sunt instituta.
Julie sur son lit de mort, une jeune fille, les mains jointes, est agenouillée à droite du lit, la tête appuyée sur l'oreiller.
Fait partie de la Suite gravée par Brugnot, édition Barbier.
A genoux devant le lit de Julie, Saint-Preux baise la main gauche de la malade. Deux femmes tentent de le retenir. L'une d'elles tient de la main droite un bougeoir avec une chandelle allumée.
Scène de "L'inoculation de l'amour". Fait partie de la Suite gravée par Brugnot, édition Barbier.
La maison des Charmettes, presque de face, entourée d'arbres, sous un ciel nuageux. Au centre, au premier plan, un soupirail. Sur le sentier, à droite, un homme lisant, canne à la main, coiffé d'un haut-de-forme.
Deuxième portrait en buste de Rousseau d'après La Tour, assis sur "une chaise paillée", presque de face, le corps tourné de trois-quarts vers la droite. A sa demande, il est en habit dit arménien avec bordure et bonnet de fourrure.
Portrait en buste de Rousseau d'après La Tour, assis sur "une chaise paillée", presque de face, le corps tourné de trois-quarts vers la droite, en habit dit arménien avec bordure et bonnet de fourrure.
Page de titre précédée d'un frontispice formé de portraits en médaillon de «Junius Brutus», «Mutius Scevola», «J.J. Rousseau» (de trois-quarts à droite), «Guillme Tell», placés deux par deux et les uns sous les autres sur un fond noir.
Au-dessous: «En des temps différents, pour servir la Patrie, / Brutus immole un fils et Tell venge le sien: / Scevola dans les fers brave la tyrannie / par Rousseau l'homme instruit est sage et citoyen.»
Portrait de Rousseau en buste de profil droit. Tête nue, coiffure à la romaine, dans un cadre ovale, attaché par un nœud à un cadre rectangulaire gravé. Sous l'ovale des branches de laurier. Au-dessous du cartouche, une draperie à franges.
Portrait de Rousseau en buste dans un ovale, de trois-quarts regardant à droite, tête nue, perruque.
Sous le portrait, l'île des Peupliers et le tombeau (image infidèle), avec au premier-plan à droite une femme à genoux et un petit chien.
Tiré d'un ouvrage et collé sur un carton
Plaque de cuivre groupant trois gravures de mêmes dimensions. Le frontispice de gauche, intitulé «Mort d'Abel», montre Adam et Eve agenouillés et suppliant un ange qui sort des nuées. Au centre, un portrait de Gessner, en buste de profil droit dans un cadre ovale orné de lierre. La gravure de droite montre un paysage de rochers ornés de lierre, de buissons et de plantes fleuries avec quelques montagnes dans le fond. Un homme nu est tombé à terre sur le dos (Abel), tandis qu'un autre personnage (Caïn) vêtu d'une peau de bête et armé d'une massue s'éloigne en lui faisont signe.
Annotation au crayon au verso
Tissu plié en 4 et imprimé en bistre à l'effigie de Rousseau
Reprenant la gravure de François Robert Ingouf le jeune d'après le buste de Houdon (cf. G1 155)
Marqué 0,50
«Comme souvenir des Fêtes du bi-centenaire de la naissance de Rousseau, célébrées en grande pompe à Genève en 1912.» (FM)
Deux cercles dans un cadre rectangulaire: symbolique ~Révolution.
Autour de celui de g.: «J. J. ROUSSEAU COMPOSANT SON CONTRAT SOCIAL / vitam impendere vero.»
Autour de celui de dr.: «LES CENDRES DE J.J. ROUSSEAU DÉPOSÉES SUR LE BASSIN DU JARDIN NATIONAL. / LE NONODI VENDÉMIAIRE L'AN 3. DE LA RUE . FSE» et en pied de la vignette: «ICI / REPOSE L'HOMME / DE LA NATURE ET DE / LA VÉRITÉ»