Portrait de J. J. Rousseau en habit à la française. Gravé par Hopwood.
«Rousseau, tourné vers la droite, apparaît jusqu'à mi-corps, assis sur une chaise à dossier. Il porte l'habit du "citoyen de Genève". On aperçoit sa main droite passée dans le gilet entr'ouvert.
Le portrait est entouré d'un cadre formé de quatre traits carrés.» (FM)
«En dépit de la note "gravé sur acier par Hopwood d'après le buste de Houdon.", le dossier de la chaise lui donne plutôt pour origine le pastel de La Tour.» (FM)
«Rousseau est représenté dans l'habit du "citoyen de Genève". On le voit à mi-corps, assis sur une chaise, la main dr[oite] dans le gilet; il est tourné de trois-quarts à droite.
Le portrait se trouve dans un cadre ovale, sur le bord duquel montent, à gauche, une guirlande de roses, de feuilles et de lis, à droite une guirlande de feuilles de chêne et de glands. Un caducée couché, derrière lequel jaillit une flamme, surmonte l'ovale; huit abeilles volent de part et d'autre de la flamme.
Au-dessous de l'ovale, une étoffe enveloppe un livre ouvert debout; sur la feuille de droite on lit: Vitam / impendere / vero; une tête de Méduse est gravée au-dessous de ces mots. Le livre repose sur une plume d'oie taillée (la pointe est au premier plan, les barbes s'ébouriffent dans la toile). Au premier plan au milieu, une lampe antique est allumée. Apparaissant à gauche, à moitié caché par l'étoffe, un globe.
L'ensemble s'inscrit dans un cadre rectangulaire gravé.» (FM)
Buste d'après La Tour, par le truchement de Coindet, augmenté d'un bras droit avec manchette.
Portrait de J.J. Rousseau en habit français, buste avec décorations symboliques.
«Rousseau est représenté dans l'habit du "citoyen de Genève", tourné de trois-quarts à droite, visage presque de face.
Le portrait est placé dans un cadre ovale, surmonté d'une couronne de laurier. L'ovale est entouré de guirlandes ' fleurs.lierre, chêne. Ce cadre repose sur un coquillage qui sépare les masques attributs de la Comédie (à g.) et de la Tragédie (à dr.); derrière ceux-ci on voit le sceptre en forme de thyrse posé horizontalement. Devant, posés sur le sol, les attributs de la musique (lyre, rouleau et feuilles de musique).» (FM)
J.J. Rousseau en chemise ouverte avec col de fourrure (dans un cartouche ovale).
«Rousseau est représenté de face, le visage légèrement tourné à droite. La tête est découverte, coiffure à la romaine. Le col de la chemise est ouvert. Rousseau porte un vêtement à col de fourrure.
Le portrait se trouve dans un médaillon ovale suspendu par une boucle et un nœud de ruban à un cadre rectangulaire gravé. Dans le cadre, au-dessous du portrait, un cartouche est fixé par deux clous. Il porte l'inscription ['].
Sous le cadre, reste d'une inscription effacée.»
"Quant au buste, il s'est borné à une mauvaise esquisse en terre faite par Lemoine sur laquelle il a fait graver un portrait hideux, qui ne laisse pas de courir sous mon nom, comme s'il avait avec moi quelque ressemblance." Confessions, livre XII, OC I: 613.
Portrait de J. J. Rousseau en piédouche d'après le buste de Houdon de 1778, en habit français.
«L'artiste a dessiné le buste de Houdon qu'il a placé sur un socle dans une niche ovale, devant une guirlande de feuilles de chêne et de glands. Sous le socle, un cartouche pointillé porte le nom ['], Le motif complet est entouré d'un double trait carré qui forme un cadre blanc. Dans ce cadre se trouvent les signatures [']. Un second cadre contient le premier.» (FM)
Portrait de J.J. Rousseau à claire voie, en habit français.
«Rousseau est tourné légèrement à droite, le visage presque de face; il porte l'habit de "citoyen de Genève".» (FM)
Portrait de Rousseau de face, en habit à la française
« Rousseau est représenté dans l'habit du "citoyen de Genàve"; il est tourné de trois-quarts à gauche, visage presque de face. Le portrait est placé dans un médaillon. Au-dessous une tablette rectangulaire porte, en lettres blanches, l'inscription [']. Le tout est contenu dans un cadre gravé limité par un trait carré.» (FM)
Portrait de J. J. Rousseau «représenté de profil à droite dans un médaillon rond. Il est nu-tête, il porte perruque frisée. Son habit fermé laisse seulement dépasser le col de toile. Le médaillon est suspendu par une boucle à un nœud de ruban, accroché à uin cdre gravé, limité par un trait carré. Au-desous du médaillon, un cartouche, fixé par deux clous sur deux branches de laurier entre-croisées, porte la mention [']» (FM)
"Quant à l'estampe où le visage est de profil, elle n'a pas la moindre ressemblance: il paraît que celui qui l'a faite ne m'avait jamais vu, et il s'est même trompé sur mon âge." (Lettre à Laliaud, 14 octobre 1764)
Petit portrait de J.J. Rousseau, de profil
«Rousseau, de profil à gauche, porte l'habit de "citoyen de Genève".[Il a une perruque frisée]. Le portrait est ['] tiré en bistre sur un fond bistre.»
Signature sous l'épaule, à droite.
Portrait de Rousseau «représenté à mi-corps. Il semble être assis devant une fenêtre ouverte. Le corps est tourné à gauche, presque de profil, la tête de trois-quarts. Rousseau porte une perruque roulée, le col de toile et la chemise plissée, mais un habit à col de fourrure. Au second plan, un paysage où l'on distingue (à dr.) un grand arbre, au tronc recouvert de lierre, (à g.) un lointain brumeux. La gravure est entourée d'un trait carré.
Planche de cuivre: limite inférieure 75 mm. au-dessous de la gravure» /FM)
«Le portrait de Rousseau (tête nue, de profil à gauche [évoquant Vécharigi]) figure au cœur d'un tableau où l'artiste a évoqué des scènes tirées des œuvres principales du philosophe, et a dessiné le tombeau où il fut déposé.
La tête de Rousseau se trouve dans un médaillon ovale. Celui-ci repose sur le tombeau de l'île des Peupliers. Au fronton du tombeau; VITAM IMPENDERE VERO [en lettres blanches]. Sur la base: ICI REPOSE L'HOMME DE LA NATURE / ET DE LA VÉRITÉ. [en lettres blanches]
Derrière le tombeau, dans un cadre, et formant un fond pour le médaillon un décor suggérant l'ìle des Peupliers. Le médaillon est flanqué (à g.) d'une brebis couchée sur le tombeau; (à dr.) d'une lasse de papiers. Un bâton passe derrière le médaillon et supporte un bonnet phrygien et une chaîne rompue qui pend sur le médaillon.
Tout en haut dans le cadre: LES ILLUSTRES FRANÇAIS. [en lettres blanches].
De part et d'autre de cette image centrale, des médaillons superposés et appliqués contre le cadre représentent des scènes tirées des ouvrages de Rousseau. Les deux madaillons supérieurs sont ovales, celui de la base est carré, Sous chacun d'eux un cartouche contient le titre, et parfois la date, de l'œuvre illustrée.
Cartouches de g. de haut en bas: LE DEVIN DE VI'AGE [sic] / 1753.
LES CONFESSIONS ET LES REVERIES / &c.
ÉMILE. / 1762
Cartouches de dr. de h. en b. : PYGMALION
DISCOURS SUR L'INÉGALITÉ / DES CONDITIONS.
LA NOUVLE HÉLOISE. / 1761.
Sous les médaillons du milieu apparaissent encore deux médaillons en trompe-l'œil sur les quels on lit, (à g.) CONTRAT SOCIAL., (à dr.) SI LE RETABLIS.MENT DES LETTRES ET DES ARTS / 1750.
Sous le trait carré entourant l'ensemble [après les signatures et le titre] suit un texte de 26 lignes, réparti en deux colonnes de 13 lignes chacune. (Vie et éloge de Rousseau).
Au-dessous, au milieu: en lettres grises: A.P.D.R.
Plus bas, encore, la page s'orne d'une console gravée, ornée de guirlandes de fleurs qui entourent un médaillon rond portant deux initiales ornées: C P. Le médaillon est fixé à la console par trois anneaux ornés d'un ruban.
Derrière le médaillon apparaissent (à g.) un caducée, une lyre, le masque de la tragédie, (à dr.) un miroir et une torche enflammée.
Sur la partie supérieure de la console, [l'adresse] dans un cartouche pointillé:» (FM)
Portrait de J. J. Rousseau.
«Le philosophe apparaît de profil à droite, corps de trois-quarts [ ?], dans un médaillon ovale.Il est tête nue, coiffure à la romaine. il porte une sorte de foulard autour du cou en cravate, et un habit de genre "révolution".
Le médaillon est fixé par un clou à une planche de bois qui forme cadre. Deux guirlandes de fleurs montent de part et d'autre du médaillon.
Au bas du cdre un cartouche (veiné bois) porte le nom: J.J. Rousseau. [']
Signature à la verticale sur le trait carré à droite ( ?)» (FM)
«La coiffure et le vêtement inhabituels permettent d'attribuer ce portrait à l'époque de la Révolution française.» (FM)
Portrait de Rousseau «représenté presque de face, légèrement trouné à gauche. Il porte l'habit du "citoyen de Genève".
Le portrait est placé dans un ovale limité par un trait.» (FM)
«Annoncé dans le "Mercure" de 1793, ce portrait fut exposé au salon de l'an IV. Copie inspirée par La Tour.» (FM)
A comparer avec celui de A. Briceau (RK)
Portrait de Rousseau «représenté tourné de trois-quarts vers la droite. Il porte le costume d'arménien. Le portrait est entouré d'un ovale dans un cadre romantique [tarabiscoté].» (FM)
A comparer avec 62.1.38 (RK)
«Portrait de Rousseau, non signé, [']. Le visage est tourné de trois-quarts vers la droite, [le] corps de profil. Rousseau porte le costume d'arménien.
Le portrait est entouré d'un ovale inscrit dans un cadre de tailles horizontales.
Sous le portrait dans le cadre un cartouche, maintenu par deux têtes de clous, porte, en lettres noires: Rousseau.» (FM)
A comparer avec 62.1.37 (RK)
Portrait de J. J. Rousseau «tourné de profil à gauche [reprenant le portrait de Taraval]. Il porte le costume d'arménien. Le portrait est placé dans un médaillon rond. Ce médaillon se détache sur un fond rectangulaire noir.
Au-dessous du médaillon, dans le même cadre, et aussi à la manière noire [ ?], on voit un paysage rectangulaire représentant l'île des Peupliers avec le tombeau. Au premier plan (à g.) une femme à genoux au pied d'un arbre, avec un chien à ses côtés; (à dr.) deux vaches ' ou chèvres ' dont une est couchée.» (FM)
Portrait de J.-J. Rousseau «gravé à la manière noire et coloré (fond bleu) ['] représenté à mi-corps, en habit d'arménien. Le corps est tourné presque de profil à droite, le visage presque de face. Le bras gauche est replié sur la poitrine, et la main gauche se referme sur la fourrure du vêtement.» (FM)
La gravure est en contretype par rapport à l'huile de Ramsay (à comparer avec 92.4.114 et 17.4.7).
«Scène inspirée par le portrait de Mayer. Rousseau semble sortir d'un bâtiment qui se trouve au premier plan à droite derrière lui. Il se dirige vers la gauche en s'appuyant sur sa canne qu'il tient de la main gauche. Il est de profil, nu-tête; son tricorne est glissé sous son bras gauche. Dans la main droite il tient un bouquet de fleurs.
A gauche au premier plan, un arbre. Au second plan, une étendue d'eau. La rive opposée est couverte d'arbres et de buissons, derrière lesquels apparaissent (à g.) des champs et (à dr.) un hameau dominé par quatre peupliers. Au-delà des champs, une forêt, et, à l'arrière-plan s'élève une impressionnante chaîne de montagnes.
La gravure est entourée d'un trait carré. [Le titre figure] au-dessous en lettres gothiques ornées d'arabesques.» (FM)
Allégorie posthume
«Dessin original, à claire-voie, sur un carton mince. La scène représente deux chevaux et leurs cavaliers passant devant un fond d'arbres. Rousseau est à cheval, en croupe; il tient par la taille la demoiselle qui l'a invité à monter [Claudine Galley ' OC I: 136]. Les deux demoiselles chevauchent en amazones. Toutes deux regardent Rousseau; celle [Mlle de Graffenried] du premier plan apparaît donc de dos.
Au dos de l'encadrement, une inscription manuscrite: Hommage affectionné à / Monsieur et Madame / Du Bois / C'est un dessin de mon père / Nicolas Guy, il date de 1862-65 / dessiné à Florence et représente / Jean-Jacques Rousseau accom / pagnantles [sic] deux demoiselles / d'Annecy. / N.Guy / Noël 1930
A nos Amis Aug. Rollier pour leurs noces d'or. / [des] DuBois / 7.VIII.1954.» (FM)
«L'estampe représente le village de Môtiers et ses environs. Le paysage correspond assez bien à la réalité. Le village de Môtiers est entouré de verdure, le clocher de l'église [du temple] le domine, les maisons le long du chemin qui mène à la cascade s'alignent vers la gauche; on distingue le torrent.
Plus en arrière, tout à gauche, le château sur son escarpement; à droite, de l'autre côté de la vallée, le village de Boveresse. Le cours sinueux de l'Areuse remonte vers l'arrière-plan où apparaît le village de Fleurier au pied du Chapeau de Napoléon. A dr. de cette montagne l'ouverture vers St-Sulpice, à g. le vallon de Buttes et les monts du Jura.
Au premier plan l'artiste a placé la scène de la [pseudo-]lapidation.
Rousseau est debout à droite. Il porte la robe et le bonnet d'arménien. Il s'appuie sur sa canne de la main gauche. Son chien [Sultan] est à ses pieds. Rousseau est en train de faire l'aumône à un pauvre diable qui le salue, chapeau bas, et tend la main pour recevoir l'obole.
Au centre, le pasteur de Montmollin, tricorne sur la tête, en robe pastorale et rabat, regarde Rousseau et pointe son index droit vers le lieu où se trouve la maison de Rousseau. Son poing gauche est menaçant. Autour de lui, un peu en contrebas, huit jeunes gens en habit et tricorne, ramassent des pierres ou sont en train de les lancer.
Scène dite ' à tort -- de la «lapidation»
«Rousseau est debout, de profil, tourné vers la droite. Il s'appuie sur sa canne qu'il tient dans la main droite. C'est le "Rousseau herborisant" [inversé], son tricorne sous le bras droit; il tient un bouquet de fleurs de la main gauche.
Devant lui, assise sur un tertre [au pied d'un arbre], une femme donne le sein au bébé qu'elle tient sur ses genous. Elle est tournée de trois-quarts à g. Un autre enfant arrive en courant entre elle et Rousseau. Il montre le philosophe de la droite, et regarde sa mère. Un panier de fruits est posé à côté de la femme à droite. A gauche, devant Rousseau, un agneau tète sa mère.
Derrière la femme et les enfants, des arbres et un cottage forment le second plan. Tout au fond, à gauche, le Temple de la Philosophie à Ermenonville; au-dessous, le pont avec la barrière de bois, des peupliers et la maison entourée d'une palissade.
La gravure n'est pas entourée d'un trait carré ['] Deux tailles de burin la limitent àdr. et à g. verticalement de haut en bas de la planche de cuivre.» (FM)
Rousseau, visage tourné à droite, herborisant en face d'une mère allaitant avec, en arrière-plan, le paysage d'Ermenonville (temple de la philosophie, pont).
«La scène symbolique est située dans un paysage du parc d'Ermenonville». (FM)
